Accueil/ AFFICHES / Affiches de films / 2001 ODYSSÉE DE L’ESPACE – Affiche de cinĂ©ma originale ressortie – 40X60. 2001 ODYSSÉE DE L’ESPACE – Affiche de cinĂ©ma originale ressortie – 40X60 . 18,00 € FILM AMÉRICAIN RĂ©alisateur – Stanley Kubrick AnnĂ©e – 1968 InterprĂštes – Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester Genre(s) – Aventure, science

Image n° 346763 Poster 2001, l'OdyssĂ©e de l'espace anglais - 1968 © Everett Collection Choisir une variante Poster 20 x 30 cm Cadre PĂ©riode de livraisonlun. - mer. 9,95 € Prix TTC, hors frais de livraison Ajouter au panier Paiement sĂ©curisĂ© Retour sous 100 jours Frais de port dĂšs 2,95 € Impression Ă  la demande Informations sur le produit Impression sur papier Ă©pais 250 g/mÂČ Ă‰clat maximal des couleurs et haute rĂ©sistance aux UV Rendu lĂ©gĂšrement brillant Aspect Ă©lĂ©gant grĂące Ă  un bord blanc de 3 mm Soigneusement emballĂ© et protĂ©gĂ© D’autres clients ont Ă©galement achetĂ© Poster 2001, l'OdyssĂ©e de l'espace anglais dĂšs 9,95 € Poster 2001, l'OdyssĂ©e de l'espace anglais dĂšs 9,95 € Poster 2001, l'OdyssĂ©e de l'espace anglais dĂšs 11,95 € Poster 2001, l'OdyssĂ©e de l'espace anglais dĂšs 9,95 €
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AccueilFilms 2001 : L’ODYSSÉE DE L’ESPACE. SAGA STANLEY KUBRICK proposĂ©e par votre cinĂ©ma la Grange. Science fiction. Date de reprise 13 juin 2018. De Stanley Kubrick. Par Arthur C. Clarke, Stanley Kubrick. Avec Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester. A l’aube de l’HumanitĂ©, dans le dĂ©sert africain, une tribu de primates subit les assauts

Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisUn film expĂ©rimental Ă  trĂšs gros budgetLa forme du film – un enchaĂźnement de sections presque autonomes oĂč les personnages se renouvellent –, les nombreuses ellipses ou phĂ©nomĂšnes visuels et sonores non expliquĂ©s, la sĂ©quence presque abstraite du voyage au-delĂ  de l'infini » ; tout manifeste le dĂ©sir du rĂ©alisateur de rĂ©inventer un cinĂ©ma pur oĂč musique, formes visuelles, mouvements, proposent des associations sans les expliquer, mettant le spectateur dans la mĂȘme situation que ses personnages – singes ou humains – face Ă  l' film est plus ancrĂ© dans son Ă©poque qu'il n'y paraĂźt obsession paranoĂŻaque de la surveillance les Russes et les AmĂ©ricains – puisque l'Ɠuvre postule un monde toujours bipolarisĂ© – continuent d'avoir des relations polies et suspicieuses, division du territoire spatial en deux zones d'influence, goĂ»t d'un cinĂ©ma froid et laconique. Par ailleurs, le voyage de Dave vers Jupiter reflĂšte l'attrait des annĂ©es 1960 pour les morceaux de bravoure op art. De mĂȘme, la lenteur rituelle de certaines actions accomplies en silence est typique du cinĂ©ma de l'Ă©poque, comme le dĂ©but d'Il Ă©tait une fois dans l'Ouest Once upon a Time in West, 1968, de Sergio monolithe noir est le seul personnage » qui unit les quatre parties du film or, semblable Ă  un miroir opaque qui absorbe la lumiĂšre et ne renvoie rien, ce monolithe est muet, inexpliquĂ©. À l'autre extrĂȘme, dans la partie la plus classiquement dramatique du film, Ă  bord du Discovery, c'est un ordinateur programmĂ© pour exprimer des Ă©motions qui invoque sa peur et nous touche de maniĂšre dĂ©chirante lorsqu'il supplie Dave de ne pas le dĂ©connecter. A contrario, les personnages humains du film sont volontairement inexpressifs, lisses, fades on les voit manger, dormir, dotĂ©s d'une famille, et une scĂšne Ă©voque mĂȘme le problĂšme des besoins naturels » en apesanteur. Seule, la sexualitĂ© est Ă©ludĂ©e et les personnages fĂ©minins trĂšs la premiĂšre fois, une musique classique, la valse du Beau Danube bleu, se trouvait associĂ©e Ă  un monde futuriste. Ce choix paradoxal frappa par son Ă©vidence et son efficacitĂ© et permit, comme au temps du cinĂ©ma muet, de structurer une frĂ©quemment classĂ©e dans les palmarĂšs du cinĂ©ma, 2001 servira de rĂ©fĂ©rence pour beaucoup de films ultĂ©rieurs, aussi bien pour ceux qui voudront en prendre le contre-pied et Ă©voquer un monde du futur sale et dĂ©glinguĂ© alors que celui de 2001 est propre et fonctionnel, que pour ceux qui voudront rivaliser avec sa symphonie de lumiĂšres, comme par exemple Rencontres du troisiĂšme type Close Encounters of the Third Kind, 1977, de Steven Spielberg, ou The Abyss, 1989, de James 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 3 pagesÉcrit par Ă©crivain, compositeur, rĂ©alisateur, maĂźtre de confĂ©rences Ă©mĂ©rite Ă  l'universitĂ© de Paris-IIIClassificationArtsCinĂ©maGenres cinĂ©matographiquesFilms de science-fictionArtsCinĂ©maCinĂ©matographies nationalesCinĂ©ma amĂ©ricainAutres rĂ©fĂ©rences 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE, Stanley Kubrick » est Ă©galement traitĂ© dans 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE S. KubrickÉcrit par JoĂ«l MAGNY ‱ 218 mots ‱ 1 mĂ©diaLe cinĂ©ma de science-fiction a beaucoup perdu de sa vigueur et de sa vitalitĂ©, lorsque Stanley Kubrick 1928-1999 se lance dans l'aventure de 2001 a Space Odyssey, dont le succĂšs va redonner au genre une nouvelle vie pour plusieurs dĂ©cennies. Selon Jacques Goimard, il s'agit du [
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Les visiteurs du cĂ©lĂšbre musĂ©e de l'air et de l'espace de la capitale amĂ©ricaine peuvent arpenter cette piĂšce de 8 mĂštres sur 10, oĂč le docteur David Bowman se voit vieillir Ă  la fin du film, avant de renaĂźtre. Recréée Ă  l'identique, mais monolithe non inclus, l'oeuvre, intitulĂ©e "The Barmecide Feast", impressionne par sa lumiĂšre agressive, comme elle avait Ă©tĂ© capturĂ©e sur pellicule par Kubrick. Le public pourra donc "apprĂ©cier l'environnement physique autour des objets exposĂ©s", lit, chaises, tableaux et sculptures, explique Ă  l'AFP Martin Collins, conservateur du musĂ©e. Une lumiĂšre bien spĂ©ciale pour Kubrick "Pour Kubrick, il Ă©tait important que la lumiĂšre ne vienne pas des projecteurs mais qu'elle soit intĂ©grĂ©e dans la scĂšne elle-mĂȘme", ajoute-t-il pour expliquer l'intensitĂ© dĂ©gagĂ©e par cette chambre de style nĂ©o-classique. L'installation, bluffante de rĂ©alisme et montĂ©e par l'artiste britannique Simon Birch, est un moyen pour le musĂ©e de rendre hommage Ă  l'oeuvre de Kubrick, considĂ©rĂ©e comme l'un des plus grands films de l'histoire du cinĂ©ma. Avant des succĂšs comme "Star Wars" ou "Blade Runner", le rĂ©alisateur amĂ©ricain a rĂ©volutionnĂ© la science-fiction avec ce long mĂ©trage Ă©pique et mĂ©taphysique, co-Ă©crit avec le Britannique Arthur C. Clarke. Sorti en avril 1968 aux Etats-Unis, "2001 l'OdyssĂ©e de l'espace" a marquĂ© son temps, en Ă©voquant avec philosophie des sujets comme la conquĂȘte spatiale et l'Ă©volution de l'espĂšce humaine. Connaissance scientifique Un an avant que l'Homme ne marche sur la Lune pour la premiĂšre fois, "les gens Ă©taient prĂ©occupĂ©s par leur futur. C'Ă©tait une Ă©poque, dans les annĂ©es 60 oĂč, aux Etats-Unis comme dans l'Union soviĂ©tique, les avancĂ©es scientifiques et technologiques Ă©taient trĂšs spectaculaires", analyse Martin Collins. Mais ces progrĂšs venaient avec leur lot de questionnements, notamment sur l'avenir de l'humanitĂ©, ajoute-t-il. Et d'une certaine maniĂšre "2001" y rĂ©pondait. L'une des particularitĂ©s du film, qui lui vaut notamment d'ĂȘtre honorĂ© par un musĂ©e aussi prestigieux que celui de l'air et de l'espace, est son respect de la rigueur scientifique. A l'inverse de "Star Wars", par exemple, la rĂ©alitĂ© du silence dans l'espace est observĂ©e. Pendant des dizaines de minutes, les spectateurs sont ainsi plongĂ©s dans des scĂšnes sans bruit et sans dialogue, donnant au film un rythme lent et envoĂ»tant. "Les scĂšnes dans l'espace s'inscrivent dans la connaissance scientifique du dĂ©but des annĂ©es 60", explique Martin Collins. Le vaisseau est aussi un des plus rĂ©alistes jamais imaginĂ© dans ce genre de films. "Kubrick et Clarke faisaient trĂšs attention Ă  la prĂ©cision", ajoute-t-il, en prĂ©cisant avec un sourire "Mais quand ils abordent l'avenir de l'humanitĂ©, on est plus dans la spĂ©culation". La chambre exposĂ©e au musĂ©e ne fait en effet pas vieillir les visiteurs, ni rajeunir ceux qui auraient vu ce film en salles Ă  sa sortie. À voir Ă©galement sur Le HuffPost Achetez2001: l'odyssĂ©e de l'espace Affiche du film (68 x 69 cm - 40 cm x 102 cm) (1968) turc (Keir Dullea) (Gary Lockwood) (William sylvestre) (Dan Richter) (Leonard Rossiter) (Margaret Tyzack): & retours gratuits possibles (voir conditions) SpĂ©cial Stanley Kubrick Dans sa premiĂšre partie, 2001, l’odyssĂ©e de l’espace 1968 prĂ©sente la naissance de l’Homme ; celui-ci, via l’enseignement ou le simple contact du monolithe, se distingue en ce qu’il intĂšgre la violence, celle-ci Ă©tant tout Ă  la fois instinct de destruction et capacitĂ© Ă  se dĂ©fendre. Pour autant, la rĂ©flexion sur l’Homme en tant qu’ĂȘtre substantiellement violent n’est qu’effleurĂ©e dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace – et ce bien que les dĂ©bordements de l’ordinateur HAL, dans la troisiĂšme partie, reviennent, Ă  nouveau, sur ce thĂšme – et il faudra attendre Orange mĂ©canique 1971 pour que Kubrick la dĂ©veloppe vraiment[1]. La principale idĂ©e Ă  retenir de la longue introduction me semble donc ĂȘtre la suivante l’Homme est nĂ©, il y a 400 000 ans, et cela constituait la nouvelle Ă©tape d’un dĂ©veloppement dont le plan d’ensemble nous reste inconnu. L’élĂ©ment important est que, un trĂšs long temps s’étant Ă©coulĂ©, une nouvelle Ă©tape est dĂ©sormais envisageable. Cette impression de temps qui passe est d’ailleurs trĂšs marquĂ©e car de nombreux indicateurs temporels sont prĂ©sents tout au long du film. C’est le cas dĂšs le titre, 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, 2001 Ă©tant une date trĂšs symbolique – surtout en 1968 – qui sonne comme un nouveau dĂ©part – et ne reprĂ©sente pas, comme 2000, une fin. Figurent Ă©galement au dĂ©but de chaque partie du film des indications temporelles Ă©crites L’aube de l’humanitĂ© ; 400000 ans aprĂšs ; 18 mois aprĂšs ; et au-delĂ  de l’infini[2]. De plus, dans les dialogues entre la Terre et vaisseaux spatiaux dans lesquels par, deux fois, on assiste Ă  des fĂȘtes d’anniversaire – d’abord celui de la fille Vivian Kubrick du professeur Floyd William Sylvester puis celui de Frank Poole Gary Lockwood. Enfin, dans la derniĂšre partie, Dave Bowman, avant sa transformation, se voit vieillir. 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, peut ainsi se voir – Ă  partir de la seconde partie – comme l’histoire de la gestation qui va prendre dix-huit mois soit le double des neuf mois nĂ©cessaires Ă  la naissance d’un nouvel ĂȘtre humain de ce nouvel ĂȘtre, créé, avec le concours du monolithe, Ă  partir de l’Homme[3]. Ce sentiment est renforcĂ© tant par la premiĂšre sĂ©quence de la seconde partie qui, autour de la valse des vaisseaux spatiaux sur Le beau Danube bleu de Johann Strauss, figure nettement une fĂ©condation que par l’image finale qui montre un immense fƓtus. L’élĂ©ment dĂ©routant vient du fait que Stanley Kubrick ne cherche pas du tout Ă  caractĂ©riser la seconde transformation – bien que l’on comprenne que le nouvel Homme ne sera plus liĂ© ou soumis Ă  la Terre – au contraire de la premiĂšre oĂč chacun comprenait que ce qui transformait l’Homme en singe Ă©tait l’apprentissage – ou l’incrĂ©mentation – de la violence. Je pense toutefois qu’introduire cette idĂ©e de la violence dans la premiĂšre partie ne cherche pas tant Ă  montrer ce qu’est l’Homme[4] mais plutĂŽt que c’est l’Homme qui a Ă©tĂ© créé aprĂšs la premiĂšre intervention du monolithe. On sait donc – du point de vue de la narration – que le monolithe, par une action dont la nature nous reste inconnue[5], peut permettre de tels changements. Si on accepte ce point de dĂ©part, les difficultĂ©s d’interprĂ©tation du film ne rĂ©sident pas – comme on le dit souvent – dans sa seule fin mais dans la globalitĂ© de l’Ɠuvre qu’il faut envisager comme un tout cohĂ©rent. En effet, la conception de l’histoire de l’humanitĂ© est trĂšs Ă©loignĂ©e de nos schĂ©mas de pensĂ©e classiques. Le film de Stanley Kubrick est en rupture tant avec les pensĂ©es monothĂ©istes dans lesquelles l’Homme est une crĂ©ature directement liĂ©e Ă  Dieu donc quasi-parfaite et qu’il ne saurait ĂȘtre question de modifier qu’avec les thĂ©ories Ă©volutionnistes pour lesquelles un changement brusque n’est pas envisageable. Par contre, il fait explicitement rĂ©fĂ©rence au philosophe allemand Friedrich Nietzsche 1844-1900 aux deux moments oĂč le monolithe agit. Dans chacune de ces deux occasions retentit l’ouverture du Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss 1864-1949. Or, ce poĂšme symphonique, datant de 1896, a Ă©tĂ© composĂ© en hommage au livre Ă©ponyme de Friedrich Nietzsche [6]datĂ© de 1883-1885. Pour ce dernier, la reprĂ©sentation du temps est tout-Ă -fait conforme Ă  ce qu’elle est dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace. Ce film, en fait, reprend le concept de l’Eternel retour dans lequel le temps est conçu comme une succession de cycles sĂ©lectifs[7]. Ainsi correspond Ă  chaque fin de cycle une rupture provoquĂ©e amenant Ă  un ĂȘtre plus puissant. Cet Ă©lĂ©ment de volontĂ©[8] est prĂ©sent dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace puisque les hommes en gĂ©nĂ©ral – et Dave Bowman Keir Dullea en particulier – cherchent Ă  repousser leurs limites en dominant l’espace malgrĂ© leur inadaptation naturelle Ă  celui-ci. Friedrich Nietzsche Un autre concept nietzschĂ©en est transposable Ă  2001, l’odyssĂ©e de l’espace celui du Surhomme. Il s’agit ici de ce en quoi se transforme l’Homme Ă  la fin du cycle lui correspondant c’est-Ă -dire, dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, le fƓtus gĂ©ant qui succĂšde Ă  Dave Bowman. Si, contrairement Ă  celui annoncĂ© par Zarathoustra, le Surhomme kubrickien n’est pas liĂ© Ă  une culture immensĂ©ment dĂ©veloppĂ©e, il s’agit bien, comme chez Friedrich Nietzsche, d’une rupture franche avec l’Homme et non d’un homme ayant dĂ©veloppĂ© au maximum ses capacitĂ©s. D’ailleurs, le film montre, par opposition au Surhomme, l’échec de l’Homme optimal, d’une certaine maniĂšre figurĂ© par le super-ordinateur HAL[9]. Enfin, un autre rapport, d’approche celui-ci, existe entre les Ɠuvres de Friedrich Nietzsche et de Stanley Kubrick. Le philosophe allemand avait ainsi sous-titrĂ© Ainsi parlait Zarathoustra, un livre pour tous et pour personne. Or la volontĂ© de Kubrick d’avoir rĂ©alisĂ©, avec 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, un film destinĂ© au plus grand nombre mais qui garde sa part de mystĂšre semble Ă©vidente. On pourrait tout-Ă -fait le sous-titrer, un film pour tous et pour personne
 Appendice 2001, l’odyssĂ©e de l’espace et Orange mĂ©canique, tournĂ©s Ă  trois ans d’intervalle, sont deux films unis par une sorte de gĂ©mellitĂ©. Il y a bien sĂ»r ces thĂšmes communs Ă  l’ensemble de l’Ɠuvre de Stanley Kubrick comme la violence constitutive de la nature humaine ou l’échec du programme parfait HAL, Ludovico. De mĂȘme, l’utilisation de la musique classique pour accompagner, voire souligner, la narration existe dans les deux films. Enfin, ces deux Ɠuvres sont, l’une et l’autre, divisĂ©es en blocs faisant apparaĂźtre clairement les diffĂ©rentes parties du film. Au-delĂ  de ces Ă©lĂ©ments – qui ne sont donc pas propres Ă  ces deux seuls films dans l’Ɠuvre de Kubrick – on peut Ă©galement remarquer que ces deux films sont explicitement liĂ©s par deux points prĂ©cis. Tout d’abord – mais s’il n’y avait que cela, on n’irait guĂšre au-delĂ  de l’autocitation –, dans Orange mĂ©canique, Alex Malcolm McDowell croise, lors de son passage dans un magasin de musique, la bande originale de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace. Ensuite, et plus profondĂ©ment, le regard face-camĂ©ra d’Alex qui ouvre Orange mĂ©canique semble rĂ©pondre Ă  celui du fƓtus humain qui ferme 2001, l’odyssĂ©e de l’espace. On peut toutefois aller encore plus loin dans le rapprochement entre les deux films. En effet, la sĂ©quence d’ouverture de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace offre, comme nous l’avons plus haut, deux Ă©lĂ©ments au spectateur. D’une part, l’Homme est caractĂ©risĂ© en tant qu’Homme par l’incrĂ©mentation de la violence. D’autre part, l’évolution se fait par ces ruptures successives que sont les interventions du monolithe. On l’a vu, le second point est dĂ©veloppĂ© dans la suite du film. Mais, d’une certaine façon, le premier l’est, lui, dans Orange mĂ©canique oĂč l’on voit l’Homme arrivĂ© au bout de son Ă©volution – dont Alex semble alors l’archĂ©type – ayant dĂ©veloppĂ© tout son potentiel de violence dans une Ă©poque qui se situe dans un futur proche – donc aux alentours de 2001. Ainsi, on peut considĂ©rer que l’introduction de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace pourrait Ă©galement ĂȘtre celle d’Orange mĂ©canique. Or, le concept nietzschĂ©en d’Eternel retour permet de concilier la temporalitĂ© avec la succession de cycles du temps et l’éternitĂ© Ă  l’intĂ©rieur d’un mĂȘme cycle. Ainsi, 2001, l’odyssĂ©e de l’espace et Orange mĂ©canique peuvent apparaĂźtre comme les deux faces d’une seule et mĂȘme piĂšce ce que, pour finir, l’on pourrait rĂ©sumer par le tableau synthĂ©tique suivant 2001, l’odyssĂ©e de l’espace Orange mĂ©canique TemporalitĂ© EternitĂ© Abondance d’indicateurs temporels Absence d’indicateurs temporels on est vers 2001 VolontĂ© de dĂ©passement ou de puissance incarnĂ©e par Dave Bowman Stagnation dans l’état Homme violence incarnĂ©e par Alex Malcolm Mc Dowell dans Orange MĂ©canique Ran [1] Ainsi Alex peut, dans ce film, apparaĂźtre comme l’archĂ©type de l’homme dont les singes de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace n’étaient que les prototypes. Par ailleurs, l’idĂ©e que la violence est constitutive de la nature humaine est rĂ©currente chez Stanley Kubrick. J’y reviens largement dans mon texte sur Full metal jacket 1987. [2] On voit ici qu’indicateurs temporels et spatiaux – tout aussi prĂ©sents dans 2001 – finissent par se rejoindre. [3] Comme l’Homme avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment créé Ă  partir du singe. [4] Pour Stanley Kubrick, rĂ©pĂ©tons-le, la violence est constitutive de la nature humaine. [5] Chacun est libre d’imaginer ce qu’il veut concernant le monolithe. On peut y voir Dieu – avec un indice absolu de transcendance – jusqu’à un simple objet envoyĂ© par une espĂšce extraterrestre. C’est en tout cas – et on n’est pas loin de rejoindre l’idĂ©e hitchcockienne du macguffin – un efficace biais narratif. [6] Remarquons que, dans Ecce Homo 1888, Nietzsche dit que la gestation de son Ainsi parlait Zarathoustra lui a pris dix-huit mois il se compare alors Ă  un Ă©lĂ©phant femelle » soit le mĂȘme temps que celui de la crĂ©ation du nouvel Homme dans 2001, L’OdyssĂ©e de l’espace. [7]Cette thĂ©orie concilie donc temporalitĂ© et Ă©ternitĂ©. [8] Le mot odyssĂ©e », prĂ©sent dans le titre, renvoie lui-mĂȘme Ă  cette idĂ©e de quĂȘte, Ă  la fois rĂ©elle et spirituelle, avec – pour finir – un retour au point de dĂ©part. [9] On remarquera d’ailleurs que l’échec pratique de programmes thĂ©oriquement parfaits – les programmes de dĂ©fense nuclĂ©aire amĂ©ricain et soviĂ©tique dans Docteur Folamour 1964 ; HAL dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace ; le programme Ludovico dans Orange mĂ©canique ; l’entraĂźnement des marines dans Full metal jacket – est une constante des films de Stanley Kubrick. CoffretDVD Collector 2001 L OdyssĂ©e de l Espace A Space Odyssey Stanley Kubrick. Pro Pro Pro. 24,99 EUR + 36,00 EUR livraison + 36,00 EUR livraison + 36,00 EUR livraison. Vendeur Top Fiabilit Ă© Vendeur Top FiabilitĂ© Vendeur Top FiabilitĂ©. 2001 L'ODYSSEE DE L'ESPACE (1968) STANLEY KUBRICK - PRESSEBOOK 4 PAGES. Particulier Particulier Sorti en avril 1968 aux Etats-Unis, "2001 l'OdyssĂ©e de l'espace" de Stanley Kubrick a marquĂ© son temps, en Ă©voquant avec philosophie des sujets comme la conquĂȘte spatiale et l'Ă©volution de l'espĂšce humaine. Il a aussi marquĂ© un jalon pour le cinĂ©ma de science-fiction, dont il reste une LorfĂšvre et Sophie DevillersPubliĂ© le 04-04-2018 Ă  15h48 - Mis Ă  jour le 05-04-2018 Ă  10h54 ©MGMTel le monolithe noir de “2001, l’odyssĂ©e de l’espace”, l’ombre du chef-d’Ɠuvre de Stanley Kubrick, dont on commĂ©more le cinquantiĂšme anniversaire,...Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©sProfitez de notre offre du moment et accĂ©dez Ă  tous nos articles en illimitĂ©Abonnement sans engagement
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— Turner Entertainment Co. Avis aux fans de Kubrick ! Les Ă©ditions Taschen publient une réédition allĂ©gĂ©e de leur beau-livre The making-of Stanley Kubrick's 2001 A Space Odyssey», sur les coulisses du film culte de science-fiction. Initialement paru dans un grand format collector en plusieurs volumes vendu 750 euros ce qui ne l'a pas empĂȘchĂ© d'ĂȘtre Ă©puisĂ© dĂšs sa sortie, le livre sera commercialisĂ© au prix de 59,99 euros. L'ouvrage dĂ©voile des photos de plateau et des coulisses du tournage, des tableaux prĂ©paratoires, des croquis et des Ă©lĂ©ments publicitaires tirĂ©s des archives Kubrick. RĂ©alisation AurĂ©lie Delaunoy — Turner Entertainment Co. Avis aux fans de Kubrick ! Les Ă©ditions Taschen publient une réédition allĂ©gĂ©e de leur beau-livre The making-of Stanley Kubrick's 2001 A Space Odyssey», sur les coulisses du film culte de science-fiction. Initialement paru dans un grand format collector en plusieurs volumes vendu 750 euros ce qui ne l'a pas empĂȘchĂ© d'ĂȘtre Ă©puisĂ© dĂšs sa sortie, le livre sera commercialisĂ© au prix de 59,99 euros. L'ouvrage dĂ©voile des photos de plateau et des coulisses du tournage, des tableaux prĂ©paratoires, des croquis et des Ă©lĂ©ments publicitaires tirĂ©s des archives Kubrick. RĂ©alisation AurĂ©lie Delaunoy — Turner Entertainment Co / Dmitri Kessel / Getty ImagesÉcrit aprĂšs des annĂ©es de recherches par Piers Bizony, journaliste spĂ©cialisĂ© dans l’espace, les effets spĂ©ciaux et la technologie, ce recueil est Ă  la fois une Ɠuvre passionnĂ©e et un hommage Ă  un chef-d’Ɠuvre de la culture du 20e L'acteur Keir Dullea pose dans un couloir du vaisseau Discovery One. — Turner Entertainment Co. / Stanley Kubrick Archives / TASCHENStanley Kubrick et Arthur C. Clarke posent pour une sĂ©rie de photos promotionnelles, Ă  bord du module lunaire Aries. — Turner Entertainment Co. / Stanley Kubrick Archives / TASCHENL'acteur Gary Lockwood devant le tableau de bord de Discovery One. — Turner Entertainment Co. / Stanley Kubrick Archives / TASCHENIllustration de Roy Carnon reprĂ©sentant la zone d'ancrage de la station spatiale Discovery One. — Turner Entertainment Co. / Stanley Kubrick Archives/TASCHENL'Ă©quipe du film sur le tournage des scĂšnes finales. — Turner Entertainment Co. / Stanley Kubrick Archives / TASCHENL'acteur Keir Dullea dans un module de rĂ©paration monoplace. — Turner Entertainment Co. / Oliver Rennert/TASCHENIllustration de l'intĂ©rieur de Discovery One et de l'organisation des espaces si le vaisseau avait Ă©tĂ© rĂ©ellement construit. — Stanley Kubrick Archives / TASCHEN / Turner Entertainment contenant tous les composants d'un ordinateur portable moderne clavier, appareil photo, stylet Ă©lectronique, modem, module de stockage de fichier numĂ©rique et l'Ă©cran d'affichage, conçue par la sociĂ©tĂ© Honeywell pour Heywood Floyd.
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"2001 l'odyssĂ©e de l'espace" est une Ɠuvre culte de Stanley Kubrick sortie au cinĂ©ma le 27 septembre 1968 et ayant inspirĂ© de nombreux longs mĂ©trages depuis. Un film de science-fiction pour enfants de 10 ans et l'aube de l'HumanitĂ©, dans le dĂ©sert africain, une tribu de primates subit les assauts rĂ©pĂ©tĂ©s d'une bande rivale, qui lui dispute un point d' dĂ©couverte d'un monolithe noir inspire au chef des singes assiĂ©gĂ©s un geste inĂ©dit et un os, il passe Ă  l'attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est 2001, quatre millions d'annĂ©es plus tard, un vaisseau spatial Ă©volue en orbite lunaire au rythme langoureux du "Beau Danube Bleu". À son bord, le Dr. Heywood Floyd enquĂȘte secrĂštement sur la dĂ©couverte d'un monolithe noir qui Ă©met d'Ă©tranges signaux vers mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter Ă  bord du deux hommes vaquent sereinement Ă  leurs tĂąches quotidiennes sous le contrĂŽle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel douĂ© d'intelligence et de HAL, sans doute plus humain que ses maĂźtres, commence Ă  donner des signes d'inquiĂ©tude Ă  quoi rime cette mission et que risque-t-on de dĂ©couvrir sur Jupiter ? Article créé par Charlotte Loisy le 18 dĂ©c. 2020
tgbhujkAstronaute Film 2001 Une Affiche De L'odyssĂ©e De l'espace Et des Peintures Peinture Mur Toile Mur Photos pour Salon Home Decor 42 * 60 cm sans EncadrĂ© : Amazon.fr: Cuisine et Maison . Choisir vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nĂ©cessaires pour vous permettre Accueil CinĂ©mas Science-fiction 2001, l'odyssĂ©e de l'espace De Stanley Kubrick 1968 Le film Voir les sĂ©ances 5 avis CinĂ©mas Science-fiction 2h21 Réédition RĂ©alisation Stanley Kubrick Principaux artistes Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester, Daniel Ritcher Genre Science-fiction Titre original 2001 A Space Odyssey NationalitĂ© Etats-Unis, Royaume-Uni DurĂ©e 2h21 AnnĂ©e de rĂ©alisation 1968 Date de sortie 13 juin 2018 Date de premiĂšre mise en salle 27/09/1968 Distributeur Warner Bros - MGM 30 / 09 / 1968 PrĂ©sentation À l'aube de l'humanitĂ©, des singes anthropoĂŻdes vivent dans un milieu hostile et violent. Quelques-uns d'entre eux dĂ©couvrent un jour un Ă©nigmatique monolithe noir, tombĂ© du ciel, qui semble modifier leur comportement. Soudain inspirĂ©, l'un de ces primates crĂ©e le premier outil avec un os et s'en sert pour chasser et se dĂ©fendre. Des millĂ©naires plus tard, en 2001, le docteur Heywood Floyd se dirige vers la Lune Ă  bord d'un vaisseau spatial. Il est chargĂ© d'une mission confidentielle il doit enquĂȘter sur un monolithe dĂ©couvert au cours de fouilles dans le cirque lunaire de Tycho. Selon les premiĂšres observations, l'objet Ă©mettrait un signal des Meilleurs effets spĂ©ciaux en 1968, 2001, l’odyssĂ©e de l’espace est un classique du cinĂ©ma de science-fiction. Le tournage fut particuliĂšrement long et nĂ©cessita la consultation de nombreux experts scientifiques de diffĂ©rents domaines. NeuviĂšme long-mĂ©trage de Stanley Kubrick, le film fut un grand succĂšs commercial et critique. Casting RĂ©alisation Stanley Kubrick Distribution Keir Dullea Dave Bowman, Gary Lockwood Frank Poole, William Sylvester Heywood R Floyd, Daniel Ritcher Moonwatcher, Leonard Rossiter Andrei Smyslov, Margaret Tyzack Elena, Robert Beatty Ralph Halvorsen, Sean Sullivan Bill Michaels, Bill Weston l'astronaute, Ed Bishop le capitaine d'Aries-1B, Alan Gifford le pĂšre de Poole, Ann Gillis la mĂšre de Poole Casting technique Stanley Kubrick ScĂ©nario, Geoffrey Unsworth Direction artistique, Arthur C Clarke ScĂ©nario original, Arthur C Clarke ScĂ©nario Derniers avis Avis publiĂ© par Nicholas le 14 aoĂ»t 2021 Le slogan pour Forrest Gump Ă©tait que si vous n'aviez pas vu le film, ce serait vous l'imbĂ©cile Ă  supposer que Forrest Gump en Ă©tait un. Si vous n'avez pas vu 2001, l'OdyssĂ©e de l'Espace, vous en serez un Ă©galement, selon les mĂȘmes standards. Pour ceux qui ne comprennent pas la fin et c'est normal il faut avoir lu le livre de Clarke, la/les puissances extra-terrestres vous verrez bien laquelle/lesquelles rembobine biologiquement l'astronaute pour le comprendre ce qui explique le bĂ©bĂ©. Ce film est un must, pas entĂąchĂ© par un nobody journaliste d'un torchon anglais qui, furieux de s'ĂȘtre vu refuser un interview par Clarke, avait diffamĂ© ce dernier de pĂ©dophilie Comme quoi, il n'y a pas qu'un entrepreneur d'entreprise de rocketry qui se laisse aller Ă  ce genre de sa-p-rie avant de "retrouver la foi en l'HumanitĂ©" aprĂšs avoir gagnĂ© le procĂšs et s'ĂȘtre excusĂ© sans une miette de pain perdue que le spĂ©lĂ©ologue accusĂ© lui avait Ă  juste titre intentĂ©; espĂ©rons pour la postĂ©ritĂ© de Clarke, que le choix diffĂ©rent de ce dernier de traiter ce genre de chose par le mĂ©pris, lui soit aussi, et davantage, heureux que le sort du spĂ©lĂ©ologue. En attendant, allez voir le film. Avis publiĂ© par Christophe le 18 juillet 2018 Film intĂ©ressant, mais pas passionnant, film froid, pour lequel j'ai du mal Ă  comprendre l'engouement. Mais je ne suis pas un fan hardcore de Kubrick, ceci expliquant peut-ĂȘtre cela? bien que je prĂ©fĂšre Shining, Full metal jacket ou Barry Lindon Ă  2001. Avis publiĂ© par Remy le 23 mai 2018 Le film date des annĂ©es 60 il n’a pas pris une ride. Les dĂ©cors sont fabuleux. Ce film prĂ©sente 40 ans avant sa commercialisation l’iPhone et l’iPad d’Apple. L’histoire est bluffante. LE trĂ©sor de Stanley ! Son Chef d’Oeuvre. Avis publiĂ© par matti jarvinen le 22 dĂ©cembre 2017 Vu et revu en salle et en dvd. Toujours un trĂšs grand film, mon prĂ©fĂ©rĂ© avec "Barry Lyndon" parmi les films de Stanley Kubrick, mais "Shining" et "Dr Folamour"... et il faudrait revoir "Lolita". Avis publiĂ© par David le 26 juin 2017 Un chef-d'oeuvre. Seul un gĂ©nie peut faire d'un ordinateur un personnage aussi Ă©mouvant. À voir Ă©galement... 5 avis sur 2001, l'odyssĂ©e de l'espace Avis publiĂ© par Nicholas le 14 aoĂ»t 2021 Le slogan pour Forrest Gump Ă©tait que si vous n'aviez pas vu le film, ce serait vous l'imbĂ©cile Ă  supposer que Forrest Gump en Ă©tait un. Si vous n'avez pas vu 2001, l'OdyssĂ©e de l'Espace, vous en serez un Ă©galement, selon les mĂȘmes standards. Pour ceux qui ne comprennent pas la fin et c'est normal il faut avoir lu le livre de Clarke, la/les puissances extra-terrestres vous verrez bien laquelle/lesquelles rembobine biologiquement l'astronaute pour le comprendre ce qui explique le bĂ©bĂ©. Ce film est un must, pas entĂąchĂ© par un nobody journaliste d'un torchon anglais qui, furieux de s'ĂȘtre vu refuser un interview par Clarke, avait diffamĂ© ce dernier de pĂ©dophilie Comme quoi, il n'y a pas qu'un entrepreneur d'entreprise de rocketry qui se laisse aller Ă  ce genre de sa-p-rie avant de "retrouver la foi en l'HumanitĂ©" aprĂšs avoir gagnĂ© le procĂšs et s'ĂȘtre excusĂ© sans une miette de pain perdue que le spĂ©lĂ©ologue accusĂ© lui avait Ă  juste titre intentĂ©; espĂ©rons pour la postĂ©ritĂ© de Clarke, que le choix diffĂ©rent de ce dernier de traiter ce genre de chose par le mĂ©pris, lui soit aussi, et davantage, heureux que le sort du spĂ©lĂ©ologue. En attendant, allez voir le film. Avis publiĂ© par Christophe le 18 juillet 2018 Film intĂ©ressant, mais pas passionnant, film froid, pour lequel j'ai du mal Ă  comprendre l'engouement. Mais je ne suis pas un fan hardcore de Kubrick, ceci expliquant peut-ĂȘtre cela? bien que je prĂ©fĂšre Shining, Full metal jacket ou Barry Lindon Ă  2001. Avis publiĂ© par Remy le 23 mai 2018 Le film date des annĂ©es 60 il n’a pas pris une ride. Les dĂ©cors sont fabuleux. Ce film prĂ©sente 40 ans avant sa commercialisation l’iPhone et l’iPad d’Apple. L’histoire est bluffante. LE trĂ©sor de Stanley ! Son Chef d’Oeuvre. Avis publiĂ© par matti jarvinen le 22 dĂ©cembre 2017 Vu et revu en salle et en dvd. Toujours un trĂšs grand film, mon prĂ©fĂ©rĂ© avec "Barry Lyndon" parmi les films de Stanley Kubrick, mais "Shining" et "Dr Folamour"... et il faudrait revoir "Lolita". Avis publiĂ© par David le 26 juin 2017 Un chef-d'oeuvre. Seul un gĂ©nie peut faire d'un ordinateur un personnage aussi Ă©mouvant. Nota Bene pour ĂȘtre publiĂ©, le contenu de votre avis doit respecter nos conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation. Newsletter Chaque mercredi, le meilleur des sorties culturelles Ă  Paris. 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