Lapparition d’un tel défaut visuel fait tout d’abord penser aux violations du système optique. Dans la plupart des cas, toutefois, ce n'est pas toujours le cas. Ainsi, l'anémie, les maladies du système nerveux central, le diabète peuvent se manifester. Le plus souvent, le voile devant les yeux n'est pas le seul symptôme de la

Concernant la femme qui retire son voile par contrainte ? SHeikh Muhammad Ibn Sâlih al-’Uthaymîn rahimahullâh vendredi 3 octobre 2003, par BismiLLehi ar-Rahmâni ar-Rahîm Il a été demandé à SHeikh Ibn ’Uthaymîn qu’il arrive que dans certains pays, les femmes musulmanes puissent être forcées à enlever leur voile et de laisser leurs têtes découvertes. Est-ce qu’il leur est permis de faire cela, tout en sachant que quiconque refuse de faire cela, devra faire face à des conséquences telles que perdre son travail ou être expulsé d’école ? SHeikh a répondu que ce qui se passe dans ces quelques pays est une des choses par lesquelles la personne peut-être éprouvée. Allâh - Ta’âla - dit Alif, Lâm, Mîm. Est-ce que les gens pensent qu’on les laissera dire Nous croyons ! » sans les éprouver ? Certes, Nous avons éprouvé ceux qui ont vécu avant eux ; Ainsi Allâh connaît ceux qui disent la vérité et ceux qui mentent. » [1] Ce que je pense est que ces femmes musulmanes dans ces pays, devraient refuser d’obéir aux gens responsables [souverains] dans ce qui est mauvais, parce qu’obéir à ceux qui détiennent l’autorité dans ce qui est mal n’est pas permis. Allâh - Ta’âla - dit O vous les croyants ! Obéissez à Allâh, et obéissez au Messager et à ceux d’entre vous qui détiennent le commandement » [2] Si vous réfléchissez au sens de la signification de ce verset, vous noterez qu’Allâh dit Obéissez à Allâh, et obéissez au Messager et à ceux d’entre vous qui détiennent le commandement » et le verbe obéissez » n’est pas répété dans le troisième cas quant à ceux qui détiennent le commandement. Cela indique que l’obéissance à ceux qui détiennent le commandement est secondaire à l’obéissance à Allâh et à l’obéissance à Son Messager. Si leur ordre est contraire à l’obéissance à Allâh et Son Messager, alors ils ne devraient pas être écoutés et il ne doit pas y avoir d’obéissance dans ce qui contredit l’obéissance à Allâh et à Son Messager. Il n’y a pas d’obéissance à une créature dans la désobéissance au Créateur. » Le malheur que la femme peut rencontrer dans ce type de situation, est quelque chose qu’elle se doit de vivre avec patience, et elle devrait chercher le secours auprès d’Allâh - Ta’âla - dans la patience. Nous demandons à Allâh qu’Il guide leurs gouvernants dans la vérité. Je ne pense pas qu’on puisse forcer une femme à ne pas porter le voile, à moins que celle-ci quitte sa maison, mais si elle reste à la maison, personne ne pourra la forcer [à retirer son voile], donc qu’elle fasse son possible pour rester chez elle jusqu’à ce qu’elle soit en paix face à cet ordre. Quant au études qui la mèneront à commettre ce péché, cela n’est pas permis, elle devrait plutôt étudier ce dont elle a le plus besoin pour ce qui est de ses intérêts religieux et de sa vie ici- bas. Cela est suffisant et peut être généralement fait à la maison. [3] Notes [1] Coran, 29/1-3 [2] Coran, 4/59 [3] Madjmu’atu Ass’ilat al-’Ousrah al-Mouslima - SHeikh Ibn ’Uthaymîn,

Levoile (du latin velum, rideau, tenture) est un vêtement traditionnel ou religieux destiné généralement à masquer tout ou partie du corps et parfois du visage d'une femme.. Présent As -Salam wa alaykoum, Comme beaucoup de soeurs se posent souvent la questions si il est permis de retirer le voile quand on y est forcée école, travail, etc., je vous partage aujourd'hui une réponse du Cheikh Muhammad Ibn Salih Al-Uthaymin à ce propos QUESTION Il arrive que dans certains pays, les femmes musulmanes puissent être forcées à enlever leur voile et de laisser leurs têtes qu'il leur est permis de faire cela, tout en sachant que quiconque refuse de faire cela, devra faire face à des conséquences telles que perdre son travail ou être expulsé d'école ? REPONSE du Sheikh Muhammad Ibn Sâlih al-'UthaymînCe qui se passe dans ces quelques pays est une des choses par lesquelles la personne peut-être - Ta'âla - dit Alif, Lâm, Mîm. Est-ce que les gens pensent qu'on les laissera dire Nous croyons ! » sans les éprouver ? Certes, Nous avons éprouvé ceux qui ont vécu avant eux ; Ainsi Allâh connaît ceux qui disent la vérité et ceux qui mentent. » [1]Ce que je pense est que ces femmes musulmanes dans ces pays, devraient refuser d'obéir aux gens responsables [souverains] dans ce qui est mauvais, parce qu'obéir à ceux qui détiennent l'autorité dans ce qui est mal n'est pas permis. Allâh - Ta'âla - dit O vous les croyants ! Obéissez à Allâh, et obéissez au Messager et à ceux d'entre vous qui détiennent le commandement » [2]Si vous réfléchissez au sens de la signification de ce verset, vous noterez qu'Allâh dit Obéissez à Allâh, et obéissez au Messager et à ceux d'entre vous qui détiennent le commandement » et le verbe obéissez » n'est pas répété dans le troisième cas quant à ceux qui détiennent le indique que l'obéissance à ceux qui détiennent le commandement est secondaire à l'obéissance à Allâh et à l'obéissance à Son leur ordre est contraire à l'obéissance à Allâh et Son Messager, alors ils ne devraient pas être écoutés et il ne doit pas y avoir d'obéissance dans ce qui contredit l'obéissance à Allâh et à Son Messager. Il n'y a pas d'obéissance à une créature dans la désobéissance au Créateur. »Le malheur que la femme peut rencontrer dans ce type de situation, est quelque chose qu'elle se doit de vivre avec patience, et elle devrait chercher le secours auprès d'Allâh - Ta'âla - dans la demandons à Allâh qu'Il guide leurs gouvernants dans la vérité. Je ne pense pas qu'on puisse forcer une femme à ne pas porter le voile, à moins que celle-ci quitte sa maison, mais si elle reste à la maison, personne ne pourra la forcer [à retirer son voile], donc qu'elle fasse son possible pour rester chez elle jusqu'à ce qu'elle soit en paix face à cet au études qui la mèneront à commettre ce péché, cela n'est pas permis, elle devrait plutôt étudier ce dont elle a le plus besoin pour ce qui est de ses intérêts religieux et de sa vie ici- est suffisant et peut être généralement fait à la maison. [3]Notes[1] Coran, 29/1-3[2] Coran, 4/59[3] Kitâb Madjmu'atu Ass'ilat al-'Usrah al-Mouslima » - SHeikh Ibn 'Uthaymîn,
27Fév. 2007. #4. salam. oui si tu portes le hijab tu dois aussi le porter devant ton beau frere. Allah dit : « Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines; et qu'elles ne montrent leurs atours qu'à

Ce matin, Jean-Marc Morandini présentait le premier numéro de "Face à la rue" sur CNews. En direct de Drancy, Eric Zemmour était "face à la rue" à la rencontre "de la vraie vie". Au cours de l'émission, l'écrivain a rencontré Rachida, une femme voilée."J'ai choisi de porter le voile. Je le porte depuis peu, parce que mon coeur et ma foi m'ont guidé vers ce voile. Je suis Française mais j'ai ma petite religion. Ce bout de tissu que je porte sur la tête fait de moi la femme que je suis. Je ne changerai pas", a-t-elle déclaré avant qu'Eric Zemmour indique que "ça [le] choque".Et d'ajouter "Ce bout de tissu, monsieur Zemmour, ne fait pas une personne. Je suis une femme. Voyez la femme que je suis, ne voyez pas le tissu que je porte sur la tête ... Je suis une femme libre". "Alors enlevez le si ça n'a pas d'importance !", a lancé Eric de son interlocutrice "Alors enlevez votre cravate à ce moment là !". Le polémiste a alors enlevé sa cravate rejoint, quelques instants plus tard, par Rachida qui a retiré son voile."Sachez une chose le foulard ne fait pas la religion. Votre cravate ne vous donne pas plus d'intelligence", a-t-elle déclaré. vous propose de redécouvrir cette séquence qui s'est déroulée en direct voir vidéo ci-dessus.

Devantqui peut-on enlever le voile. Salam Aleykoum Wa Rahmatullah Wa Barakatuhu , J’aimerai savoir si j’ai le droit de montrer mes cheveux aux personnes (fille ou garçon) qui m’ont connu sans le voile auparavant .

Paroles blessantes et parfois agressions physiques sont le quotidien de certaines musulmanes. Depuis l'interdiction du port du voile intégral dans certaines régions du pays, notamment celles de l'Extrême-Nord, du Littoral, du Nord et de l'Est due aux exactions de la secte terroriste BokoHaram, la population vit dans la psychose et la crainte de la femme voilée. Fusent alors des paroles blessantes, parfois des agressions physiques Je ne m'approcherai plus jamais des femmes qui portent le voile, elles cachent des explosifs à l'intérieur », s’emporte Loïc Fongam, commerçant du marché Mendong à Yaoundé, à la vue d'une femme musulmane voilée de manière simple avec un Hidjab. Très peu font la différence entre le voile intégral et les autres. Devant cet amalgame, des milliers de femmes préfèrent ne plus sortir de leur maison. Hadjaratou Ousmane est de celleslà Je marchais tranquillement dans la rue lorsque deux hommes qui étaient près de moi m'ont agressée en tirant sur mon voile. Ils me l'ont arraché brutalement de la tête et ont dit le gouvernement n'a-t-il pas interdit le port de ces voiles ? Je me suis sentie humiliée, je suis retournée chez moi décidant de ne plus jamais en sortir. » Hawa, elle, s'est rendu compte hier que même les forces de l'ordre ne savent réellement pas ce que c'est que le voile intégral J'étais au commissariat de Bastos hier pour retirer ma carte nationale d'identité lorsque le vigile s'est mis à me fouiller, me demandant d'enlever le pagne que j'avais sur moi. Je me suis sentie très mal mais comme il fallait que je retire ma carte, j'ai dû me plier à ces exigences. Je comprends que cela est fait pour garantir la sécurité des citoyens, mais de là à me mettre nue devant tout le monde, c'est vraiment très humiliant. » Le voile intégral est celui-là qui recouvre la femme musulmane de la tête aux pieds et qui ne laisse voir que ses yeux. Il est de couleur noire en général. Le voile simple ou Hidjab quant à lui ne couvre que la tête des femmes musulmanes. Il n'est pas assez large, on ne peut pas y cacher des explosifs. Pour l'Imam de la mosquée de Bodo, le Cheick Abou Rapah, la femme musulmane observe le voile légal chaque fois qu'elle sort de la maison c'est l'habit islamique que les textes du Saint Coran et les Hadiths du messager d'Allah ont déterminé sans équivoque. La femme musulmane consciente ne fait donc pas partie de cette catégorie de femmes sous habillées que connaît la société moderne, des femmes égarées et déviées de la voie d'Allah » Cette différence est-elle prise en compte ? C'est une atteinte à notre dignité de femmes et nous devons y remédier », exhorte Zeinabou Abdou Rahman.

JIMBOURG / REUTERS. F ace à la manifestation croissante des convictions religieuses au travail, une entreprise peut être tentée d’interdire le port du voile par le biais d’une clause

Publié le 08/04/2011 à 1257, Mis à jour le 12/04/2011 à 1258 De gauche à droite un niqab, interdit dans l'espace public, un hidjab, une kippa et un dastaar, interdits dans les écoles publiques. FOCUS La loi sur le voile intégral qui entre en vigueur ce lundi vient s'ajouter à celle déjà existante sur les signes religieux dans les écoles. Récapitulatif des pratiques non-autorisées.• La loi du 15 mars 2004 interdit le port de tenues et de signes religieux ostensibles » à l'école. Elle s'applique depuis la rentrée scolaire 2004/ qu'il est interdit de porter - le voile, plus ou moins couvrant hidjab, tchador, khimâr- la kippa- les grandes croix chrétiennes catholique, orthodoxe- le dastaar, turban avec lequel les Sikhs cachent leurs cheveux- le bandana s'il est revendiqué comme signe religieux et couvre la têteQui est concerné ?Les élèves des établissements scolaires publics, même majeurs, tout le personnel scolaire, enseignants compris, et les parents accompagnant les sorties s'applique l'interdiction ?Les écoles, collèges et lycées publics classes préparatoires et BTS compris, et tous les lieux extérieurs accueillant des activités scolaires gymnases…. Les universités ne sont pas France et dans les territoires d'outremer suivant France, Saint-Pierre-et-Miquelon, Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna, et Mayotte. La loi ne s'applique pas en risques encourus une sanction disciplinaire pouvant aller jusqu'à l'exclusion si l'élève persiste dans son refus d'enlever le signe religieux après un dialogue prolongé avec le chef d'établissement.» Le texte de loi en intégralité• La loi du 12 octobre 2010 interdit le port du voile intégrale dans l'espace public. Elle s'applique à compter du 11 avril qu'il est interdit de porter Tout ce qui dissimule le visage - le niqab- la burqa- les cagoules- les masquesException en cas de pratiques sportives, de fêtes ou de manifestations artistiques ou traditionnelles, processions religieuses est concerné ?Tout le monde, y compris les touristes s'applique l'interdiction ?Dans l'espace public, à savoir la rue, les transports en commun mais pas les voitures particulières, la plage, les jardins publics, les commerces, cafés et restaurants, magasins, banques, gares, aéroports, administrations, mairies, tribunaux, préfectures, hôpitaux, musées, loi s'applique sur l'ensemble du territoire de la République, en métropole comme en circulaire d'application de la loi préconise aux forces de l'ordre une certaine souplesse à proximité des lieux de risques encourus Un stage de citoyenneté et/ou une amende maximale de 150 euros.» Le texte de loi en intégralitéLIRE AUSSI » Read this story in English» Burqa les nouvelles règles en vigueur dès le 11 avril» VIDÉO - La burqa, un bout de tissu indigne de l'islam»

Lapremière concerne une femme de 22 ans qui a refusé d'enlever le voile couvrant son visage lors de sa comparution devant un tribunal. Après hésitations, le juge lui a finalement ordonné
A midi, au bureau numéro 7 de l’école des Sables d’Orange, l’élu à la police et à la sécurité Gérald Testanière, a demandé à Naïma El Omar d’enlever son foulard avant de voter. […] L’élu, lui, se justifie avec une photo sur la carte d’identité qui ne correspondait pas à la personne qui s’est présentée devant lui. La Provence
Nantes Elle refuse d’enlever son voile et se rebelle pendant sa journée d’appel FAITS DIVERS Une jeune femme de 19 ans a été placée en garde à vue après avoir refusé d'ôter son voile
DébutPage précedentePage suivanteFin En quoi ça te dérange l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ? Le 11 novembre 2015 à 010906 dons52 a écrit Le 11 novembre 2015 à 010752 Toto-du-37_bis a écrit Je me balade pas h24 sur JVC dsl. Mais le FN a ses n'a aucune chance, regarde autour toi, la politique les média, les artiste, c'est eux qui dirigent l'avenir, et il est tout tracétu es bien naif . on peux avoir 1000 fois une personne , pas 1000 fois la meme personne En tout cas si le FN ne passe pas on va etre dans une sacrée merde. Le 11 novembre 2015 à 011121 Ermac94 a écrit En quoi ça te dérange l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?T'aimera je me balade pres de chez toi en cagoule ? T'étais dans ton droit, c'est la loi Ça n'empêche que je l'aurai pas fait parce que ça se fait pas et que je pense qu'elle a le droit du moment qu'elle le retire quand on lui demande dans des situations type contrôle de police ou à l'entrée d'une banque ou d'un magasin Le 11 novembre 2015 à 011121 Ermac94 a écrit En quoi ça te dérange l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?soumission de la femme dans un pays ou la femme est censé avoir autant de droit que lhomme , liberté egalité fraternité , je tinviote a lire la declaration des droits de l homme Le 11 novembre 2015 à 011204 baten_kasos a écrit Le 11 novembre 2015 à 010906 dons52 a écrit Le 11 novembre 2015 à 010752 Toto-du-37_bis a écrit Je me balade pas h24 sur JVC dsl. Mais le FN a ses n'a aucune chance, regarde autour toi, la politique les média, les artiste, c'est eux qui dirigent l'avenir, et il est tout tracétu es bien naif . on peux avoir 1000 fois une personne , pas 1000 fois la meme personneC'est toi qui est naïf. Le FN n'a aucune chance, tout le monde va voter contre eux si ils arrivent au deuxième tour. La sensation général, jvc ou non, c'est que les gens en ont marre d'être pris pour des âne et les médias véhicule justement des images d'une France décadente ou le gouvernement ne trouve pas toujours la bonne solution, le FN en propose et ce sera peut-être adopté et regretté comme beaucoup avec le FN n'y changera pas grand chose, c'est mon avis ! Le 11 novembre 2015 à 011253 baten_kasos a écrit Le 11 novembre 2015 à 011121 Ermac94 a écrit En quoi ça te dérange l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?soumission de la femme dans un pays ou la femme est censé avoir autant de droit que lhomme , liberté egalité fraternité , je tinviote a lire la declaration des droits de l hommeC'est pas une question de soumission, c'est pour éviter le regard des hommes. Certaines femmes n'aiment t'invite à revoir un peu la définition de laïcité. Si elle se baladait en robe à ras la foufoune, tu lui aurait de s'habiller ? Le 11 novembre 2015 à 011253 baten_kasos a écrit Le 11 novembre 2015 à 011121 Ermac94 a écrit En quoi ça te dérange l'auteur qu'une femme musulmane mette son voile ?soumission de la femme dans un pays ou la femme est censé avoir autant de droit que lhomme , liberté egalité fraternité , je tinviote a lire la declaration des droits de l homme"Soumission" supposée par ton cerveau étriqué. Je t'encourage également à lire la Déclaration des droits de l'homme pour découvrir ce qu'est la liberté de culte. Je t'invite également à balayer devant ta porte, c'est pas en France où les salaires sont inférieurs de 20% à celui des hommes ? L'Afrance Perso je suis pas musulman mais je préfère 1000 fois voir une femme avec le voile que une femme avec mini jupe ou on voit le cul et tout Le regard des hommes ? Une femme devrait être flattée qu'un homme pose son regard sur elle à partir du moment où c'est pas dans le détail baten pas du tout mais c'est un manque de respect pour elle mafois elle montre ses formes à tous le monde c'est honteux quoi on est pas dans un film porno tu sors dans la rue tu t'habilles pas comme ça c'est tout l'auteur va relire les lois avant de te prendre pour un justicier Le 11 novembre 2015 à 011604 theshark_31 a écrit Le regard des hommes ? Une femme devrait être flattée qu'un homme pose son regard sur elle à partir du moment où c'est pas dans le détail Sauf que ce n'est pas le cas de toute les femmes. Il n'y a pas de "devrait", chacun est libre de faire ce qu'il veut. Le voile c'est quoi une bout de tissus qui couvre les cheveux et les formes de la femme ça vous gêne tant que ça ? DébutPage précedentePage suivanteFin Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Lexamen de la recrudescence du port du voile islamique en Tunisie permet d’observer un ensemble de croyances et de pratiques qui sous-tendent un processus d’affirmation de soi en tant que femme et constituent le fondement d’une « idéologie » de contestation de l’ordre social et politique. Considérer que ces pratiques relèvent d’une forme de féminisme peut sembler Des professeurs ont pris à partie des étudiantes voilées en septembre, dans une université à Paris et à Sciences-Po, à Aix-en-Provence."Vous comptez garder votre truc à tous mes cours ?", "Vous êtes un cheval de Troie de l'islamisme." A deux reprises, en septembre, deux professeurs s'en sont pris à des étudiantes voilées, dans deux établissements et deux villes bien distincts. Mais en ont-ils le droit ? Francetv info apporte des éléments de s'est-il passé ?D'abord, le 16 septembre, à l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne. Une étudiante voilée a déclaré que sa professeure lui avait demandé, lors de sa première séance de travaux dirigés TD de géographie physique, d'enlever son voile pendant les exposés, parce que cela "la dérangeait". Contactée par Le Monde, qui a révélé cette affaire le 25 septembre, la professeure a nié les faits. Pourtant, des étudiants présents au cours ont cosigné une lettre, mise en ligne sur le site Islam et info, pour attester les dires de la jeune femme. Le président de l'université, Philippe Boutry, a reçu l'étudiante et s'est 29 septembre, une étudiante en première année à l'Institut d'études politiques IEP d'Aix-en-Provence Bouches-du-Rhône, a été accusée par un professeur d'être "un cheval de Troie de l'islamisme", en raison du voile qu'elle portait durant son cours d'histoire. "Je ne l'ai pas agressée, j'ai simplement fait remarquer à cette étudiante qu'elle gênait ses camarades en amphi. .. Elle est totalement manipulée", a expliqué l'historien, Jean-Charles Jauffret, à nos confrères de France 3 Provence-Alpes. Les étudiants ont regretté cet échange. Certains ont quitté l'amphithéâtre en signe de désapprobation. Le directeur de l'IEP est intervenu devant l'ensemble des étudiants, mercredi dit la loi ?En recevant l'étudiante de Paris-I, Philippe Boutry, "a présenté des excuses au nom de l'université". Selon Le Monde, il a regretté l'incident et l'interprétation erronée que l'enseignante fait de la loi de 2004. D'après ce texte, "dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit".Les établissements publics d'enseignement supérieur ne sont en aucun cas mentionnés, et se situent donc en dehors du champ d'application de la loi sur le voile. Mais ils restent soumis au principe de laïcité inscrit dans le code de l'Education. Il stipule que "le service public de l'enseignement supérieur est laïque et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l'objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions". Et en pratique, comment cela se passe ?Toutefois, on considère que les établissements supérieurs accueillent pour l'essentiel un public adulte, donc responsable. "Des personnes majeures peuvent revendiquer par certains signes ostentatoires leur appartenance à tel ou tel mouvement religieux", indique la Conférence des présidents d'universités CPU, dans son guide Laïcité et enseignement supérieur PDF rédigé en 2004."Pour autant, il ne s'agit pas d'un droit absolu, poursuit ce texte. Pour certains enseignements, le juge administratif a reconnu le bien fondé de tenues appropriées pour des raisons soit de sécurité, soit d'hygiène." Par exemple, les signes religieux, y compris le voile, ne doivent pas gêner l'exercice d'activités physiques et sportives, ou de travaux pratiques dans certaines matières scientifiques. Une tenue ne doit pas non plus gêner le contrôle de l'identité lors d'un devoir surveillé. Enfin, les étudiants ne doivent pas faire preuve de prosélytisme ou de propagande, sous peine de voir leurs actes sanctionnés."Aucune raison d'ordre religieux, philosophique, politique, ou considération de sexe ne pourra être invoquée pour refuser de participer à certains enseignements ..., contester les choix pédagogiques ainsi que les examinateurs", explique le règlement du Conservatoire national des arts et métiers, alors que des textes comparables ont fleuri à l'Institut national des langues et civilisations orientales, les universités Lille-III , Montpellier-I, Paris-VII ou faire respecter ces principes, le président peut adapter son règlement intérieur ou établir une charte, dans la limite de la loi de 2004. "Ce type de règlement constitue la base juridique dans le cas de conflits ou d'atteintes internes à l'établissement", précisait en 2013 Le Figaro. Mais il s'agit dans ce cas d'apporter une réponse à certains étudiants qui n'hésitent pas à récuser un examinateur ou une examinatrice au nom de la séparation des sexes soi-disant prônée par leur religion, et non au port du voile. Sur ce dernier point, François Hollande a simplement estimé, le 30 août 2013, qu'il "est possible d'intervenir sans qu'il soit besoin de texte supplémentaire". Unefemme qui porte le voile doit aussi cacher ses formes afin de ne pas être désirable. Donc il faut à la fois cacher ses cheveux et ses formes. A la lecture de ce verset, une femme ménopausée peut retirer le voile et porter des Le vendredi 11 octobre 2019, lors du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, une femme, qui accompagne des enfants en sortie scolaire, est publiquement sommée de sortir. La raison ? L'homme politique, qui n'a pas manqué de faire filmer la scène, lui reproche le port de son voile. Cette affaire, qui a fait le tour de la Toile, a réveillé un débat ancien de plusieurs années le port du voile islamique en France. Retour sur une polémique qui secoue le pays. Le voile islamique, c'est quoi ? Le voile islamique, ou hijab, portée par certaines musulmanes, leur couvre la tête tout en laissant le visage apparent. On ne peut donc pas parler ici de "voile intégral". Le terme "hijab" est un dérivé de "hadjaba" qui signifie en arabe "dérober au regard". Par définition, le voile, ou hijab, est censé couvrir pour protéger ou pour cacher, mais ne sépare pas. Le voile permettrait donc de cacher les atours féminins, ici les cheveux, afin de ne pas attirer le regard des hommes. Cette interprétation ne figure pourtant pas dans le Coran, qui insiste davantage sur l'exigence de modestie dans la toilette de la femme. Pour d'autres femmes, le voile islamique peut aussi servir de marqueur identitaire de l'appartenance à une religion ou à une culture. En France, le voile fait débat depuis des années il est considéré par certains comme "un asservissement pour la femme". Un mode de pensée jugé islamophobe pour d'autres. Hijab, burqa, niqab... Quelles différences ? Alors que le hijab, autorisé en France, ne cache que les cheveux, les oreilles et le cou, la burqa et le niqab couvrent l'intégralité de la tête et du corps. Avec la burqa, un grillage dissimule les yeux. le niqab laisse, quant à lui, apparaître les yeux grâce à une fente. Ces deux tenues sont interdites en France car elles dissimulent le visage. Que dit la loi sur le voile islamique en France aujourd'hui ? Si le voile islamique ou hijab, contrairement à la burqa et le niqab, est autorisé en France, il reste tout de même interdit à ceux qui exercent une mission de service public, comme les fonctionnaires de l'Etat et des collectivités territoriales, les agents SNCF ou de la CPAM. Ils ont, en effet, un devoir de neutralité. Cela s'applique au voile islamique, mais aussi à tout signe religieux comme la kippa chez les juifs ou encore le port d'une croix chez les catholiques. Ce principe de neutralité et de laïcité n'est, en revanche, pas applicable chez les usagers des services publics, ni aux salariés dans les entreprises qui relèvent du Code du travail. Au contraire, la liberté religieuse est posée comme un principe fondamental, tant qu'elle n'entraîne pas de troubles dans la société. Mais en fonction de la nature de l'activité de l'entreprise, le règlement intérieur peut imposer certaines restrictions en matière de signes religieux, en inscrivant le principe de neutralité par exemple. Enfin, la loi de 2004 interdit le port de signes religieux ostensibles aux élèves dans les écoles, les collèges et lycées publics. À l’université, en revanche, les étudiants ont la liberté de porter des signes religieux s’ils le désirent, car ils sont majeurs et ont déjà acquis leurs propres opinions. Le voile en France des débats de 1989 à nos jours Les débats sur le voile islamique commencent dès la fin des années 1980. Depuis, la question ressurgit régulièrement dans le débat public. En 1989, 3 adolescentes sont exclues de leur collège, à Creil pour port du voile. Cette affaire fait partie des premières controverses les plus marquantes. Entre les années 1990 et les années 2000, plus d'une cinquantaine de jeunes filles sont ainsi exclues de leurs établissements. C'est en 2004 que la loi interdit les signes religieux ostensibles à l'école publique. Une entrée en vigueur qui crée une vive polémique dans tout le pays. En 2010, l'académie de Toulouse licencie une enseignante stagiaire qui refusait de retirer son voile pour faire la classe en primaire. En 2010, à Nantes, une femme au volant portant le niqab pas encore interdit à cette époque écope d'une amende de 22 euros pour "circulation dans des conditions non aisées". Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux tente de remettre en cause la nationalité de son mari, accusé de polygamie. C'est en octobre 2010 que la loi interdit le port du voile intégral dans l'espace public entre en vigueur. Après l'entrée en vigueur de cette loi, 300 femmes portant le voile intégral sont verbalisées. En 2012, une circulaire de Luc Chatel, ministre de l'Education nationale de l'époque, fait polémique elle demande aux mères accompagnatrices de sorties scolaires de ne pas porter de signe religieux ostentatoire. Mais en 2013 le Conseil d'Etat ne valide pas le texte en tant que "collaborateurs occasionnels", les accompagnants ne sont pas soumis à la neutralité religieuse imposée par les enseignants. En 2013, un contrôle mouvementé d'une femme intégralement voilée à Trappes crée la polémique. Les affrontements entre habitants et policiers durent 3 nuits. D'autres contrôles dégénèrent à Marseille, Nice ou encore Argenteuil. En 2014, après six ans de procédure, la cour de cassation valide définitivement le licenciement d'une employée de la crèche privée Baby-Loup de Chanteloup-les-Vignes. Elle refusait d'enlever son voile. 11 octobre 2019 une affaire qui relance les débats Le 11 octobre, la polémique reprend quand un élu RN, Julien Odoul, prend à partie, en public, une mère voilée accompagnant la classe de son fils à une séance du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. Il exige de cette mère de famille qu'elle retire son voile “au nom de nos principes laïcs”. Pourtant, d'après la loi, cette femme n'a pas enfreint les règles de la République. La scène, partagée sur les réseaux sociaux par Julien Odoul lui-même défraie la chronique et relance le débat sur le voile islamique, notamment concernant les mères accompagnatrices des sorties scolaires. Cette femme de 35 ans, qui s'est retrouvée, malgré elle, au coeur d'une polémique, a confié au Collectif contre l'islamophobie "avoir peur de tout" et s'inquiète pour la suite. "Franchement, j’étais là sans être là. La seule chose que j’ai vue, c’était la détresse des enfants. Ils étaient vraiment choqués et traumatisés”. Fatima E. “Quand j’ai vu mon fils en train de craquer, je leur ai dit que je ne pourrai plus rester. J’avais aussi besoin de me retrouver toute seule. Je tremblais de la tête aux pieds et je me sentais en train de tomber. Je ne voulais pas craquer devant les enfants, donc je suis sortie. ... Sincèrement, ils ont détruit ma vie.” Fatima E. Ce mercredi, la mère de famille a annoncé, via son avocate, qu'elle allait porter plainte contre l'élu régional RN Julien Odoul "Il s'agit d'une plainte pour violences en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère raciales", déposée auprès du parquet de Dijon, annonce son conseil. Me Sana Ben Hadj Younes, avocate Une autre plainte pour "incitation à la haine" doit être déposée dans les prochains jours auprès du parquet de Paris, affirme Me Sana Ben Hadj Younes. Alors que, depuis cette dernière affaire, la classe politique s'embrase sur le sujet du voile islamique, des pompiers de la caserne de Creil ont refusé, ce lundi 14 octobre, une visite scolaire au motif que deux accompagnatrices, mères d'élèves, portaient un voile. Depuis, les pompiers de l'Oise se sont excusés oralement auprès des accompagnatrices. Et pour les enfants, une nouvelle visite doit être rapidement organisée. Des débats qui agitent le monde médiatique et politique Depuis le 11 octobre, la question du port du voile dans l’espace public est de nouveau au centre des débats, notamment dans les médias, qui ont consacré de nombreuses unes au sujet et multiplié les débats sur les chaînes d'information en continu. Une du Parisien le mercredi 16 octobre Trente ans après, la question du voile "divise toujours", d'après Le Parisien, qui relève que le débat agite et divise aussi le gouvernement. Pour L’Opinion, la majorité cherche à "garder la tête froide pour éviter toute stigmatisation des musulmans", sans toutefois parvenir à échapper à cette énième polémique. Le dessinateur Kak accuse le député RN Julien Odoul d’agiter le voile comme un chiffon rouge, pour provoquer les esprits. Le Monde, quant à lui, a offert une tribune à 90 personnalités, parmi lesquelles Omar Sy, Céline Sciamma ou Christine Delphy, qui demandent à Emmanuel Macron de condamner l'agression de l'accompagnatrice scolaire voilée. Côté télé, entre le 11 et le 17 octobre, Checknews a recensé "pas moins de 85 débats sur ce seul sujet" sur LCI, CNews, Franceinfo et BFMTV. Au total, il y a eu 286 interventions sur ce thème, la palme revenant à TF1, qui a organisé pas moins de 42 débats sur le port du voile ces cinq derniers jours, pour 149 interventions. En plus des médias, l'affaire a évidemment suscité de vives réactions du côté des politiques, faisant ressortir les scissions entre gauche et droite. "Une Maman est une accompagnatrice. Elle n'exerce aucune influence sur les contenus d'enseignement et n’est pas soumise au principe de neutralité. La rejeter, c'est laisser penser qu'elle n'a pas sa place au sein de la République et prendre le risque du repli communautaire", a ainsi dénoncé le secrétaire général du parti socialiste sur Twitter. "On a une tentative d’élaborer des lois d’exception qui ne viseraient qu’une seule religion", s'est agacé mardi sur Europe 1 le député insoumis Adrien Quatennens. À droite, c'est Eric Ciotti, le député LR des Alpes-Maritimes qui a été l'un des plus vindicatifs sur le sujet, dénonçant la multiplication des "revendications territoriales et vestimentaires" au sein de la communauté musulmane. "On a été trop naïf, on a laissé passer trop de choses, en disant qu'il ne faut pas créer de tensions. On a baissé le regard, on a baissé les yeux. On voit que la montée du communautarisme, que traduisent souvent ces 'signaux faibles', commence à irriguer notre société. Il faut arrêter ça", a-t-il déclaré sur BFMTV. Plusieurs élus LR sont même allés plus loin, souhaitant l'interdiction du voile dans tout espace public. Brice Hortefeux, Nadine Morano et Christian Estrosi se sont ainsi successivement montrés favorables à une proposition emblématique du Rassemblement national RN, rapporte Le HuffPost. Pour l'ancien ministre de l'Intérieur de Nicolas Sarkozy, "il faut se poser la question de l’interdiction de tout signe distinctif dans les espaces publics". L'eurodéputée LR, elle, est plus directe et se dit "favorable à l’interdiction du port du voile dans l’espace public". Le maire de Nice estime, quant à lui, que "le port du voile de manière ostentatoire dans l'espace public doit être interdit". Et la majorité présidentielle dans tout ça ? La position du gouvernement est loin d'être claire, et surtout pas unie. L'affaire a créé une scission au sein du gouvernement, certains comme le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer se sont publiquement prononcés contre. "Le voile n’était pas souhaitable" dans notre société, a déclaré ce dernier, affirmant défendre une "position républicaine" face aux nombreuses critiques. "Je serai toujours avec ma colonne vertébrale sur ces questions-là. Je ne me laisserai pas impressionner par des gens qui défendent des thèses communautaristes", a affirmé le ministre de l’Education nationale qui se revendique "dans la ligne de Jules Ferry et de Jean Zay". Une position partagée par la porte-parole LREM Aurore Bergé. Interrogée sur la proposition de loi du député Les Républicains LR Eric Ciotti d'interdire le voile aux mères de famille lors des sorties scolaires, la députée LREM a répondu sur LCP qu'elle soutiendrait le vote. Sa position avait alors entraîné lune levée de boucliers de plusieurs collègues députés, qui se sont désolidarisés en créant dans la foulée le hashtag NotInMyName PasEnMonNom, utilisé en 2015 par les membres de la communauté musulmane pour dénoncer les crimes commis par l'organisation État Islamique. Les propos de Jean-Michel Blanquer ont de leur côté fait réagir le député LREM Aurélien Taché dans une interview au Point. "Je regrette d'entendre Jean-Michel Blanquer dire que la loi protège le droit de ces accompagnatrices à participer aux sorties scolaires - comme l'a rappelé plusieurs fois la justice - et, dans le même temps, dire qu'elles feraient mieux d'enlever le voile", dénonce-t-il. "Faisons bloc et ne nous divisons pas" Emmanuel Macron Si les députés sont divisés sur la question, du côté de l'exécutif le message est clair non à la stigmatisation des musulmans. Un message martelé mercredi par Emmanuel Macron, qui a tardé à prendre position. "Faisons bloc et ne nous divisons pas pour lutter d'abord et avant tout contre la radicalisation dans notre société, oeuvrons pour que la République soit partout", a déclaré le chef de l'État, tout en appelant à "être intraitable avec le communautarisme". Avant lui, son Premier ministre Edouard Philippe s'était lui aussi montré très ferme. "Je ne pense pas que l'enjeu aujourd'hui, ce soit de faire une loi sur les accompagnants scolaires", a déclaré Edouard Philippe, mardi, à l'Assemblée nationale. "On peut porter un voile quand on accompagne une sortie scolaire mais on n'a pas le droit de faire de prosélytisme. Voilà l'état du droit", a-t-il rappelé, estimant que "l'enjeu, c'est de combattre efficacement et avec le soutien de l'ensemble de nos concitoyens les dérives communautaires". XVEg.
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